John Griffiths joue sur des luths médiévaux et renaissance, des vihuelas, des guitares baroques et des guitares du XIXe siècle. Avec ces instruments, il joue un répertoire étendu mais, en liaison avec son activité de chercheur, il a un intérêt tout spécial pour la musique d'Espagne et d’Italie.
Il est particulièrement reconnu comme l'un des principaux chercheurs actuels de la musique de vihuela. Il a joué en Australie, en Europe, aux États-Unis et en Amérique du Sud, en soliste et en ensemble ; il s’est produit en particulier avec La Romanesca qu'il a co-fondé en 1978.
Il a participé à des spectacles et à des émissions de radio et de télévision en Argentine, en Australie, au Chili, à Cuba, en Angleterre, en France, en Allemagne, en Grèce, à Hong Kong, en Italie, au Portugal, en Espagne et aux États-Unis.
Il structure ses programmes solos sur la base de ses propres recherches et sur les résultats de ses explorations et redécouvertes de musiques perdues et de compositeurs oubliés.
Ses programmes récents ont exploré des domaines rares du répertoire de la vihuela, ainsi que des liens entre la musique de luth improvisée et composée, la musique des villes et celle des cours.
Il a été actif dans la redécouverte du répertoire de luth napolitain et l'a fait connaître au public par ses récents projets d’interprétation et ses publications avec Dinko Fabris.
Il a récemment étudié la musique du premier luthiste qui fut publié, Francesco Spinacino, et parmi ses récentes représentations, il a entrepris, en 2011, une tournée de concerts en Australie et en Nouvelle-Zélande avec le virtuose de la guitare Ricardo Gallén.
De plus, il a enseigné régulièrement dans des écoles d'été et des cours spécialisés tels que le Festival international de la guitare [Córdoba, Espagne] et le Cours international de musique ancienne de Daroca [Espagne].
Il a rédigé une méthode très originale pour la vihuela, basée sur la pédagogie du XVIe siècle, en suivant spécifiquement les instructions du théoricien espagnol Juan Bermudo.
Les enregistrements de John Griffiths sont disponibles chez Move Records.
Luths de concert et d'étude Le Luth Doré fabriqués en France
"Le Luth Doré est heureux d’annoncer son intention de reprendre la production et la vente de luths et autres instruments à cordes pincées de concert et d’étude, à prix abordables et historiquement fidèles, 100% Made in France."
Le Luth Doré®, pionnier de la lutherie française, emploie les grands moyens contre les faussaires | Le Luth Doré ®
Le Luth Doré ® [LLD], qui a contribué avec succès à la relance mondiale du luth, lancée en 2015 par Miguel Serdoura, PDG fondateur, luthiste de renom, est actuellement menacé par des entreprises du commerce d'instruments de musique peu scrupuleuses, qui se sont engagées dans ce qui est présumé être des contrefaçons, et dans la vente et la commercialisation trompeuses. L'entreprise parisienne se défend.
Avis d'Inventaire Limité | Le Luth Doré ®
Les faits font toujours l'objet d'une enquête. Cependant, les circonstances que nous connaissons aujourd'hui suggèrent fortement qu'un certain nombre de luths et d'étuis contrefaits Le Luth Doré ® [LLD] ont été introduits sur les marchés internationaux. Ces luths et étuis semblent avoir été obtenus de façon inappropriée en utilisant la propriété intellectuelle protégée par LLD en violation des dispositions relatives à l'exclusivité et à la confidentialité des accords de fabrication de LLD.
Frank Antonsen, guitariste et luthiste amateur norvégien, commente le luth Renaissance 8c LLD ® Galilei
« Depuis que je suis adulte, la musique de la Renaissance m'a toujours intéressé. Je l’ai abordée avec la guitare classique et avec une guitare alto spéciale, mais depuis toujours je voulais entendre le son et voir l’apparence d’un vrai luth. Enfin, j'ai un tel instrument de Le Luth Doré ® à Paris. »
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